Santé (Page 3)

« Comment prenez-vous soin de vous? », demande Lisa Evanoff sur Zoom à un groupe d’élèves d’Inuvik, une communauté majoritairement autochtone des Territoires du Nord-Ouest. La question est plutôt simple, mais la réponse n’est pas si évidente pour tout le monde.

On le sait : conserver nos saines habitudes de lutte à la pandémie peut devenir difficile à la longue. La tentation de retomber dans nos vieilles pantoufles de la « vie d’avant » est bien réelle. Cependant, il est essentiel de poursuivre nos pratiques exemplaires pour arrêter la propagation du coronavirus.
 

Ainsi, comme nous sommes la majeure partie du temps à la maison, l’hiver s’impose comme la saison idéale pour apprendre à prendre le temps, à vivre plus sereinement, à laisser libre cours à ses passions et à s’en découvrir de nouvelles.

Le temps maussade vous rend morose? Il est normal d’avoir le moral à plat quand les journées se raccourcissent et que la température approche le zéro, particulièrement quand on est confinés à la maison. Pour aider à égayer votre quotidien, nous vous proposons des activités gratuites et intérieures qui plairont à toute la famille (même Fido!)

Malgré ses magnifiques couleurs, l’arrivée de l’automne, avec ses températures fraîches et ses nuits plus hâtives, peut donner le cafard. Normalement, on pourrait se réunir avec la famille et les amis pour se remonter le moral, mais on sait tous que pour limiter la propagation de COVID-19, la distanciation physique est de mise. Alors qu’on est tous confinés en pantoufles chez soi, voici quelques suggestions d’activités (gratuites!) pour garder le moral.

L’Association canadienne pour la santé mentale estime qu’un Canadien sur cinq traversera une crise ou recevra un diagnostic de maladie mentale. À partir de 40 ans, ce ratio s’élève à un Canadien sur deux. Alors que les bienfaits de l’activité physique sur la santé physique sont connus, bouger peut également faire partie des moyens efficaces pour une bonne santé mentale.
 

Toutes les 45 secondes, un enfant meurt de la malaria quelque part dans le monde et 3,3 milliards de personnes risquent de contracter cette maladie également connue sous le terme de paludisme. En dépit des campagnes de prévention et des options de traitement, la malaria tue près de 700 000 personnes chaque année, en majorité des enfants de moins de cinq ans.