Art fait du bénévolat à la Croix-Rouge depuis 2017. Au cours des trois dernières années, il a occupé divers rôles au sein de l’organisme et participé à plusieurs interventions au Manitoba et dans d’autres régions du Canada.
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Pour Brad Herbert, bénévole de longue date, participer au programme d’appels amicaux de la Croix-Rouge canadienne en Saskatchewan ne se résume pas à des appels téléphoniques.
« Je passe peu de temps au téléphone, s’est-il dit lorsqu’il a envisagé de faire du bénévolat dans le cadre du programme. Mais je me suis rendu compte qu’il ne faut pas nécessairement parler, il faut savoir écouter ».
Après 40 ans de service militaire, Bernard St-Laurent est bien placé pour témoigner de l’importance de venir en aide à autrui. Bénévole pour la Croix-Rouge canadienne depuis sa retraite prise il y a 11 ans, il affirme avoir vu de ses propres yeux la portée des mesures mises en place par la Croix-Rouge, que ce soit au Canada ou ailleurs dans le monde, pour aider les personnes et les communautés dans le besoin.
Il y a 75 ans, des bombes atomiques ont été larguées sur Hiroshima et Nagasaki, au Japon, engendrant des pertes sans précédent. En effet, l’explosion a provoqué la mort instantanée de plus de 150 000 personnes. (Selon certaines estimations, le bilan des victimes s’établirait plutôt à près de 200 000). La souffrance causée par cette catastrophe est toujours bien présente aujourd’hui.
À leur retour au pays, Linda et son conjoint Wray ont vécu une quarantaine de 14 jours à la base militaire de Trenton, en Ontario. Linda, qui est aujourd’hui rentrée à la maison, nous partage par écrit son expérience.
Alors que Kara se trouvait à bord d’un bateau de croisière pour un séjour idyllique à Hawaï, 21 personnes ont reçu un diagnostic de COVID-19, et les 3 500 passagers ont dû être placés en quarantaine. À son arrivée à Trenton, en Ontario, Kara a rapidement découvert l’envers du décor, passant d’intervenante de la Croix-Rouge à bénéficiaire. Grâce à sa formation de bénévole, Kara, à droite sur la photo, était mieux en mesure de gérer la situation, tant pour elle-même que pour les autres personnes en isolement.
C’est après avoir pris sa retraite, il y a quelques années que Gwen Schick a constaté à quel point elle s’ennuyait de toutes les rencontres qu’elle faisait dans le cadre de son travail. Elle a donc commencé à faire du bénévolat auprès de la Croix-Rouge canadienne, plus particulièrement dans le programme d’appels amicaux de Saskatchewan.
À l’heure actuelle, la majorité des gens partout à travers la planète ont reçu la consigne de rester à la maison afin de freiner la propagation de la COVID-19. Aux nouvelles, vous avez fort probablement entendu les termes suivants : isolement, isolement volontaire, autosurveillance et distanciation physique ou sociale.