Lors de l’arrivée de la pandémie, Phyllis s’est sentie prête à y faire face, car elle s’y était préparée. Étant l’une des principales personnes à s’occuper de son père Peter, âgé de 87 ans, Phyllis a mobilisé ses frères et sœurs afin de coordonner un bon soutien et d’organiser son ravitaillement ainsi que des livraisons spéciales lorsque tous les membres de la famille seraient confinés chez eux. Toute la famille s’est efforcée du mieux qu’elle pouvait de maintenir un lien virtuel avec Peter et aussi entre eux, et ce, plus souvent qu’ils ne le faisaient en personne auparavant. Mais après environ un mois d’isolement et la terrible chute de son père dans son appartement, Phyllis a réalisé que la pandémie avait des répercussions physiques et mentales bien plus importantes sur son père âgé que ce à quoi elle s’était préparée.