Évaluation des programmes

Évaluations d’Éducation au respect

Les programmes d’Éducation au respect reposent sur une méthode de santé publique et un engagement de surveillance, d’évaluation et d’amélioration rigoureuses et continues des programmes.

Tous les programmes sont évalués grâce à des partenariats avec des organismes externes indépendants. Ces évaluations ont permis de constater des améliorations considérables dans les connaissances, les attitudes et les compétences des participants en matière de prévention.

Téléchargez un résumé des évaluations des programmes d’Éducation au respect ou cliquez sur chacune des évaluations ci‑dessous pour en connaître les principales conclusions.

Examiner les répercussions de la formation d’éducateur en prévention (animateur adulte) afin d’identifier les changements au niveau des connaissances, des comportements et des compétences.

Les résultats de cette évaluation pilote montrent qu’après avoir participé au programme Au delà de la souffrance les participants font preuve d’une compréhension accrue des domaines abordés. De plus, les participants ont démontré des croyances et des comportements plus positifs sur divers aspects de l’intimidation, et ont dit être plus confiants grâce à la formation.

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Examen des contributions de la Croix‑Rouge, de la participation du district scolaire et des écoles pour veiller à la réussite du programme de prévention de l’intimidation Au-delà de la souffrance pour les jeunes. Les conclusions seront publiées en août 2012.

Évaluer l’apport respectif de différents acteurs ‒ la Croix-Rouge, les commissions scolaires et les écoles participant au programme ‒ à la réussite du programme Au-delà de la souffrance.

  • La mise en œuvre du programme Au delà de la souffrance a produit des résultats prometteurs. La création d’un milieu scolaire dans lequel tous les élèves se sentent en sécurité, l’intégration du programme aux initiatives et au curriculum existant, et le suivi régulier du programme ont été les éléments clés.
  • Les élèves disent qu’après avoir participé au programme Au delà de la souffrance, « leurs pairs sont plus sensibilisés au problème de l’intimidation et ont des manières plus proactives de l’aborder ».
  • Les résultats du sondage Tell Them From Me, qui a eu lieu avant et après la mise en œuvre du programme à l’école intermédiaire pilote, laissent voir des améliorations. Les élèves indiquent qu’ils se sentent en sécurité à l’école et qu’ils connaissent des façons sécuritaires de signaler les cas d’intimidation.
  • D’après la rétroaction des écoles, des animateurs et des élèves, les interventions doivent viser l’ensemble de l’école. La mise en œuvre d’une intervention continue à l’échelle de l’école augmente considérablement les chances d’obtenir les résultats escomptés.
  • Les facteurs jugés déterminants pour les résultats du programme comprennent :
    • la formation continue des éléves;
    • la durabilité de la formation des jeunes;
    • la durabilité des enseignants/animateurs;
    • l’appui de l’école.
  • Pour améliorer le programme, il est important qu’une bonne relation existe entre la Croix Rouge et l’école. La prévention de l’intimidation nécessite le soutien, les ressources et le leadership de l’école et des intervenants communautaires. Une démarche globale à l’échelle de l’école rassemblant les jeunes, les employés, les parents et la collectivité autour d’initiatives visant l’ensemble de l’école, des présentations en classe et des interventions individuelles ont porté fruit.
  • Téléchargez le rapport sur le rôle de l’école et du district dans la mise en œuvre du programme de prévention de l’intimidation  Au-delà de la souffrance (en anglais seulement)

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Dans le cadre d’un projet d’évaluation parrainé par Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC), les outils et le processus de formation d’Au-delà de la souffrance ont obtenu une note de 2,5/3 pour leurs solides démarches fondées sur des données probantes.

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L’évaluation à phases multiples a permis d’examiner 2 243 déclarations d’incidence de jeunes reçues par l’équipe des programmes de prévention de la violence dans les relations chez les jeunes et de la violence envers les enfants d’ÉduRespect : Prévention de la violence au cours des deux années précédentes :

  • Les jeunes dévoilent surtout la violence en général, suivie des mauvais traitements psychologiques, de l’agression physique et de l’abus sexuel. La négligence n’est pas mentionnée aussi souvent.
  • Si on compare avec l’Étude canadienne sur l’incidence des signalements de cas de violence et de négligence envers les enfants : rapport final, le taux de signalement d’abus sexuel est deux fois plus élevé, tandis qu’il est nettement inférieur pour ce qui est de la négligence. (Note : Les statistiques de cette étude se fondent sur des affirmations qui ont été corroborées.)
  • Le plus souvent, ce sont les parents qui sont les agresseurs.

Cette recherche a été publiée dans :

(en anglais seulement)

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Une évaluation de trois modes de prestation du programme de prévention de la violence envers les enfants « Ce n’est pas de ta faute » d’ÉduRespect : Prévention de la violence – avec bénévoles, avec enseignants et prestation détaillée – a montré que le niveau de connaissances parmi les participants augmentait selon chaque type de prestation, mais que la prestation détaillée est celle qui montrait les augmentations les plus considérables et soutenues.

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Il s’est produit un apprentissage transformationnel chez les formateurs et les policiers assurant la liaison avec l’école qui ont suivi la formation d’éducateurs en prévention « Ce n’est pas de ta faute » d’ÉduRespect : Prévention de la violence pour prévenir la violence faite aux enfants.

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  • Les élèves qui ont suivi le programme de prévention de la violence envers les enfants « Ce n’est pas de ta faute » d’ÉduRespect : Prévention de la violence ont obtenu un résultat à une épreuve sur les principaux concepts de prévention de la violence nettement supérieur à celui des élèves qui n’avaient pas suivi le programme.
  • Les garçons ont montré une plus grande amélioration de leur connaissance des principaux concepts de prévention de la violence après le programme que les filles; celles-ci ont déclaré que le programme les avait aidées à s’aider elles-mêmes ou à aider une autre personne victime de violence.
  • Les évaluateurs ont recommandé que le programme soit mieux intégré au programme scolaire.

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Le modèle logique et les mesures des résultats pour le programme de prévention de la violence envers les enfants « Ce n’est pas de ta faute » d’ÉduRespect ont montré que les participants avaient retenu des connaissances.

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Les participants qui sont entraîneurs sportifs à différents niveaux et à différents âges, auprès d’athlètes masculins et féminins, croient que le programme Respect et Sport se répercute sur leurs méthodes d’entraînement, ce qui signifie que Respect et Sport produit un contenu qui peut être généralisé à une multitude d’entraîneurs. Les résultats indiquent que les entraîneurs croient avoir les connaissances pour se rendre compte des problèmes d’intimidation, de violence, de négligence et de harcèlement, et intervenir correctement au besoin.

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Hautement efficace pour sensibiliser à la prévention des mauvais traitements envers les enfants. Augmentations considérables des connaissances et des compétences en intervention chez les entraîneurs.

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Le projet de RHDCC a produit les outils et le processus de formation en dix étapes qui ont obtenu l’évaluation la plus élevée pour la démonstration de méthodes fondées sur des données probantes.

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La Croix Rouge canadienne et des chercheurs de l’Université York ont reçu des fonds du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) pour mener un important projet d’envergure nationale :

« Le cercle bénéfique de la prévention : Recherche de mobilisation communautaire pour la prévention de la violence » .

Ce projet vise à réaliser de la recherche communautaire sur le processus de mobilisation des collectivités par l’entremise d’un programme conjoint de la Croix-Rouge canadienne et de la Croix-Rouge australienne, Le cercle bénéfique de la prévention.

Les participants à l’atelier de prévention des mauvais traitements faits aux enfants « Le cercle bénéfique de la prévention » pour les collectivités des Premières Nations, métisses et inuites ont clairement compris l’importance de comprendre la violence et de savoir qu’elle n’a pas sa place, ont jugé que l’information, l’ouverture à l’écoute et la compréhension étaient nécessaires à la prévention de la violence, ont reconnu l’importance de parler de leur cas personnel et de celui de leur famille, et reconnu qu’il est nécessaire de signaler personnellement la violence ou de faire tomber les obstacles organisationnels.

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  • Une semaine après avoir assisté à la présentation, la moitié des élèves qui avaient déjà indiqué avoir eu recours à la violence dans leurs relations disaient ne plus avoir recours à la violence.
  • Les élèves connaissaient beaucoup mieux les façons d’aider un ami victime d’agression sexuelle.
  • Les élèves qui avaient suivi le programme étaient plus en mesure de nommer les facteurs qui entraînent la violence physique et psychologique dans les relations que les élèves qui ne l’avaient pas suivi.

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