Jusqu’à il y a environ six mois, je détestais la course à pied, jusqu’à ce que je découvre la course sur sentiers dans le bois. Bien entendu quand on dévale une pente entre des racines et des rochers, le risque de trébucher est plus élevé surtout lorsqu’on commence à avoir les jambes molles en fin de course, mais j’aime d’autant plus le défi de concentration.