« Ce n’est pas la première fois que je suis confronté à une personne qui se fait du mauvais sang. Les gens sont inquiets, c’est normal. Il suffit de se mettre à leur place : ils ont dû quitter leur maison, ils ne savent pas dans quel état elle se trouve », déclare David Wickingstad, un bénévole de la Croix-Rouge canadienne, qui aide présentement l’organisation à répondre aux appels des sinistrés au bureau du programme HELP de Kamloops.